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Éditorial : «Premiers pas sous l'orage»

Par Arnaud de la Grange

Cela commence mal. En fait, cela va mal avant même d'avoir commencé. Du jamais-vu dans une histoire politique américaine pourtant pas bégueule côté scandales. À une semaine de son investiture, voilà le futur président américain sous un feu ravageur. Accusé d'avoir frayé avec une puissance étrangère, ses troubles agents comme ses filles légères. Suspecté d'être «tenu» par Moscou avec ces informations compromettantes. Une nouvelle grenade lancée sur le tapis rouge qui mène au Bureau ovale.

L'affaire, pour l'heure, est fort nébuleuse. Une partie de la presse américaine elle-même, peu suspecte de trumpisme, invite à la prudence. Ce qui lui donne son poids, c'est le fait que la CIA et le FBI aient jugé utile d'en avertir les deux présidents, le sortant et l'élu. Et qu'elle vient après d'autres allégations d'ingérence du Kremlin dans le jeu politique américain. Des piratages russes reconnus in finepar Trump lui-même.

Comme à la fin de ces films d'espionnage trop compliqués, on n'y comprend plus…

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5 commentaires
  • tabboo001

    le

    Mais après l'orage revient le beau temps. Mieux vaut crever l'abcès de suite, plutôt que de le subir , à l'instar de François 0, pendant 5 ans.

  • ARNAUD DE VAUBLANC

    le

    Que de vertu offusquée ! Et que dirait-on sur Kennedy et ses centaines de maîtresses ?

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