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Au lieu d'entrer tranquillement comme prévu dans son acte II, le quinquennat d'Emmanuel Macron vient de basculer brutalement en stade 3, avec l'annonce jeudi soir par le président de la République que l'État allait déployer des moyens financiers illimités pour faire face à l'urgence sanitaire et économique à laquelle le pays est confronté en raison de la propagation rapide de l'épidémie du Covid-19. À pas moins de trois reprises, dans son adresse solennelle aux Français, le chef de l'État a utilisé, en haussant à chaque fois le ton pour mieux afficher sa détermination, l'expression « quoi qu'il en coûte » : pour la prise en charge des malades, la protection des salariés et des entreprises ou encore les mesures de relance de l'activité économique.
La rupture est totale avec la volonté exp...
Mais les 75 Milliards accordés aux migrants vont peser lourds dans les dépenses de santé des français contribuables. J'espère qu'aux prochaines présidentielles, les français s'en souviendront ! Ce qui n'est pas encore sur... C'est bien le plus mauvais président de notre histoire contemporaine !
On en reparle dans 6 mois
Content de vous faire rire. Que voulez vous, il y a ici et ailleurs tant de gens ch... S qui se prennent au sérieux qu'il est comme un devoir pour ceux qui se le peuvent permettre par le style, le verbe et l'esprit de (tenter de) rétablir quelque peu l'équilibre. Mais comme les ch... Sont et de loin les plus nombreux, je crains que le combat soit perdu d'avance. Alors nous serons toujours et encore quelques un(e) s ici et ailleurs à résister face à la vague, tel l'officier Drogo du "désert des tartares" ou les derniers habitants du "camp des saints". Le premier guettant de la tour le nuage de poussière "les" annonçant, les seconds scrutant la mer où s'étalent chaque jour innombrables les chaloupes de la misère. Dans tous les cas nous serons là. Et tant mieux si nos contributions vous distraient, au fond, quel autre noble but !