Une dizaine de milliardaires se partagent 80 pour cent des quotidiens et des fréquences radio du pays, concentrant sur leurs médias environ la moitié de l’audience. Un phénomène qui n’est pas accepté sans résistance.

Une dizaine de milliardaires se partagent 80 pour cent des quotidiens et des fréquences radio du pays, concentrant sur leurs médias environ la moitié de l’audience. Un phénomène qui n’est pas accepté sans résistance.