Six ans après les
46 Débats
46 Débats
Six ans après les
La Norvège rend aujourd'hui hommage aux victimes des attentats du 22 juillet 2011. Le terroriste d'extrême droite Anders Breivik avait d'abord tué huit personnes à Oslo, dans un attentat à la bombe ; il avait ensuite abattu 69 personnes sur l'île d'Utøya, pour la plupart des jeunes qui participaient à un camp d'été du Parti travailliste. Breivik a été condamné en 2012 à une peine de 21 ans de prison prolongeables.
Un hommage a été rendu lundi en différents lieux de Bruxelles aux victimes des
14 accusés ont été condamnés dans le procès des attaques de 2015 contre les locaux du journal satirique Charlie Hebdo, l'Hyper Cacher à Paris et une policière à Montrouge. Le principal accusé s'est vu infligé une peine de 30 ans de prison. Il est considéré comme le bras droit de l'un des trois terroristes qui avaient été abattus par les forces de l'ordre. Six ans après ces attaques, la France peut-elle tourner la page ?
Après l'attaque terroriste de Halle, en Saxe-Anhalt, l'assaillant présumé est en garde à vue. Il a abattu une passante et un homme dans un kébab, mercredi, après avoir échoué à entrer dans la synagogue de la ville, où les fidèles célébraient la fête de Yom Kippour. Les éditorialistes s'interrogent sur le terrorisme d'extrême droite et appellent la politique à agir.
Un agent administratif employé de la préfecture de Paris depuis 16 ans a tué jeudi quatre collègues avant d'être abattu par des policiers. Selon les enquêteurs, l'assaillant s'était converti à l'islam il y a une dizaine d'années et s'était radicalisé. Malgré ses contacts salafistes, il continuait à travailler en qualité d'informaticien dans les services de renseignement associés à la lutte antiterroriste. Les éditorialistes sont sidérés.
Il y a une semaine environ, des Kurdes de Syrie ont remis à la France et aux Pays-Bas une trentaine d'
Suite à la demande du président américain Donald Trump appelant les pays européens, par le biais d'un tweet, à organiser le rapatriement de près de 800 combattants djihadistes européens, la question du retour fait couler beaucoup d'encre. La Grande-Bretagne a par exemple fait le choix de déchoir de la nationalité britannique Shamima Begum, une jeune femme de 19 ans qui avait rejoint Daech. Le débat a une forte charge émotionnelle.
Après l'attentat meurtrier sur le marché de Noël de Strasbourg, les forces de l'ordre sont toujours à la recherche du suspect, âgé de 29 ans et fiché S. Deux personnes ont perdu la vie et plusieurs autres ont été blessées lors de l'attaque, commise à l'arme à feu et au couteau. Les enquêteurs évoquent un motif islamiste. Quels en seront les effets, dans un pays déjà en ébullition ?
Dix jours après
Deux femmes ont perdu la vie et six autres personnes ont été blessées lors d’une attaque au couteau perpétrée dans la ville finlandaise de Turku. Les enquêteurs évoquent un mobile terroriste. La plupart des partis appellent désormais à renforcer les prérogatives des services de renseignement. Cette proposition est-elle judicieuse ?
Les forces de sécurité ont abattu le suspect principal des
La gare Centrale de Bruxelles a été le théâtre d'une tentative d'attentat. Un homme a déclenché un engin explosif, mais la déflagration, de faible intensité, n'a blessé personne. Le suspect, originaire du
Deux semaines et demie seulement avant les élections législatives du 8 juin, la Grande-Bretagne est ébranlée par l'attentat de Manchester. Les meetings de campagne ont été annulés et la Première ministre Theresa May et son rival Jeremy Corbyn se sont entendus pour éviter toute exploitation politique de l'attaque. Fallait-il suspendre la campagne ? Les commentateurs sont partagés.
Par milliers, les Suédois sont descendus dans les rues de Stockholm pour témoigner leur solidarité aux victimes de l'attaque au camion-bélier de vendredi. La police entend mener des perquisitions et des contrôles au frontières pour trouver les éventuels complices du suspect - un Ousbek qui était entré en clandestinité pour échapper à son expulsion. La Suède doit se munir de mesures de sécurité plus dures, exigent certains médias. Pour d'autres, cette attaque illustre déjà la réussite de la police et des services secrets.
Après
La police turque recherche encore l'auteur de l'attentat du réveillon du Nouvel An à Istanbul. Elle a diffusé la photo de l'homme censé être l'individu qui a abattu 39 personnes dans le club Reina. L'attaque a été revendiquée par Daech. Pour les éditorialistes, la
Les attentats de
Un avis de recherche européen a été lancé pour retrouver le Tunisien soupçonné d'avoir commis l'attentat au camion-bélier sur un marché de Noël lundi soir à Berlin. Selon les autorités allemandes, l'homme faisait l'objet d'une enquête judiciaire pour soupçon de préparation d'attentat. Si certains journalistes préconisent de redoubler de rigueur contre les islamistes, d'autres estiment en revanche que l'ouverture et la tolérance sont les seuls remèdes efficaces au terrorisme.
Au moins 51 personnes sont mortes samedi soir suite à un attentat-suicide perpétré lors d'un mariage kurde à Gaziantep, dans le sud-est de la Turquie. Selon Ankara, le groupe terroriste Daech serait l'instigateur de l'attentat, et son auteur pourrait être un garçon de 12 à 14 ans. Il est difficile de rejeter toute la faute sur un enfant, soulignent les commentateurs, qui incriminent également le gouvernement turc.
La chancelière allemande Angela Merkel a indiqué dans une conférence de presse vouloir maintenir sa
Lors de la couverture des récents attentats commis en Europe et aux Etats-Unis, les médias ont relayé en direct un grand nombre de spéculations et de rumeurs. La rapidité avec laquelle se produisent les évènements empêche la recherche et la réflexion nécessaires, déplorent certains commentateurs. D'autres redoutent pour leur part une restriction, voire une censure politiquement motivées.
A Ansbach, un Syrien s'est fait exploser à l'entrée d'un festival de musique et a blessé 15 personnes. Les enquêteurs supposent un mobile islamiste. Cet attentat provoque à nouveau une onde de choc en Allemagne quelques jours après l'attaque survenue dans un train régional et la tuerie de Munich. Les commentateurs se demandent comment réagira l'Allemagne face aux réfugiés.
Istanbul a été la cible mardi d'un attentat qui a coûté la vie à onze personnes. C’est la troisième attaque meurtrière perpétrée dans la métropole turque
Selon les déclarations du Premier ministre turc Ahmet Davutoğlu, mardi, plusieurs indices laissent penser que l'attentat suicide de Suruç a été perpétré par l'organisation terroriste Daech. Ankara doit enfin faire cause commune avec les Kurdes pour combattre la milice islamiste, préconisent certains commentateurs. D'autres saluent l'engagement du gouvernement AKP contre le terrorisme.
Après la prise d'otage sanglante survenue mardi à Istanbul, des personnes armées ont attaqué mercredi le quartier général de la police de la ville. Une assaillante a été abattue, son complice interpellé. Certains commentateurs rejettent la responsabilité de cette vague présumée de terrorisme d'extrême gauche sur le président Recep Tayyip Erdoğan et son style autoritaire. D'autres s'interrogent sur les réels instigateurs de ces attaques.
Les principaux suspects de l'attentat d'Ankara seraient deux kamikazes affiliés au groupe terroriste Daech. C'est ce qu'a indiqué lundi le Premier ministre turc Ahmet Davutoğlu. Nul ne devrait s'étonner de la présence de djihadistes en Turquie, écrivent certains commentateurs. D'autres redoutent une multiplication des actes de violence en cette période électorale, que le parti au pouvoir AKP pourrait exploiter à son avantage.
La Turquie a été la cible du terrorisme pour la seconde fois en moins de quelques jours : samedi, c’est un kamikaze qui s’est fait exploser dans une zone piétonne d’Istanbul, provoquant la mort d’au moins quatre personnes. Il s’agirait selon Ankara d’un acte perpétré par un partisan de Daech. Comment la Turquie pourra-t-elle retrouver la paix ?
Suite aux attentats de Paris et de Bruxelles, les commentateurs passent au crible les quartiers dits difficiles, où vivent en grande majorité des personnes défavorisées issus de l’immigration. Qu’est-ce qui fonctionne mal dans des quartiers comme Molenbeek, où des terroristes ont préparé leurs attentats à l’insu des services de sécurité ?
Au moins 34 personnes sont mortes et 230 ont été blessées fin mars après une série d’attentats à Bruxelles. Le groupe terroriste Daech a revendiqué ces attaques, perpétrées dans l’aéroport de la ville et une station de métro. Les éditorialistes appellent globalement à réagir avec retenue à ces attentats et à combattre le terrorisme à la racine.
Suite aux
La presse s'interroge sur le durcissement des mesures de sécurité suite aux attentats parisiens : les Etats doivent-ils sacrifier la liberté sur l'autel de la sécurité ? Certains commentateurs redoutent le renforcement des contrôles, tandis que d'autres jugent ridicule la crainte des citoyens d'être davantage surveillés.
Après les attaques terroristes de Paris, l'enquête bat son plein. L'armée de l'air française a bombardé par ailleurs des positions du groupe terroriste Daech en Syrie, où les attentats auraient été planifiés, selon les informations du gouvernement français. Il faut répondre par plus de surveillance et une intervention militaire plus marquée, affirment certains commentateurs. D'autres craignent qu'il ne soit impossible de remporter la guerre contre l'idéologie fondamentaliste.
La vie publique reste figée à Bruxelles après le troisième jour consécutif d'alerte terroriste maximale. 16 personnes ont été interpellées dimanche soir dans le cadre d'une vaste opération de police. Le gouvernement belge a raison de privilégier la sécurité, estiment certains commentateurs. D'autres déplorent que les terroristes aient réussi à atteindre leur objectif, à savoir semer la peur et la panique.
Des unités spéciales de la police ont arrêté plusieurs suspects lors d'une opération de grande envergure menée dans le quartier de Molenbeek, à l'ouest de Bruxelles. Dans l'enquête sur les attentats de Paris, une piste mène à ce quartier considéré comme une plaque-tournante du djihadisme. Certains commentateurs préconisent de sévir durement contre ces milieux qui transforment des jeunes en machines à tuer. D'autres appellent les musulmans à se démarquer plus clairement des idéologies radicales.
Une semaine après l'attaque contre Charlie Hebdo, le nouveau numéro de l'hebdomadaire satirique paraît ce mercredi avec un tirage record de trois millions d'exemplaires dans le monde. Si certains commentateurs félicitent la rédaction pour sa défense de la liberté et le message de réconciliation qu'elle véhicule, d'autres estiment qu'une fois de plus, ses journalistes manquent du respect le plus élémentaire.
Douze personnes ont été tuées et quatre autres sont entre la vie et la mort après l'attentat terroriste perpétré mercredi contre l'hebdomadaire satirique Charlie Hebdo. Certains commentateurs craignent que cet acte, présumé islamiste, ne ravive la haine contre les musulmans européens. D'autres appellent à préserver un regard critique et satirique sur l'islam.