L’occupation militaire du nord de l’île en 1974 a entraîné une scission du paysage médiatique de l’île. Par peur des procès, des arrestations et des prises à partie, beaucoup de journalistes en arrivent à s’autocensurer. A peine remis de la crise financière, le marché de la presse est à nouveau ébranlé par la crise du coronavirus.
