Le 23 juin 2016, les Britanniques avaient voté par
167 Débats
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Le 23 juin 2016, les Britanniques avaient voté par
Le gouvernement britannique a adopté une réglementation contraignant les citoyens de l'UE non domiciliés en Irlande à demander une autorisation de voyage électronique (eTA) pour pouvoir passer la frontière entre la République d'Irlande et l'Irlande du Nord. Le gouvernement de Dublin a condamné cette décision, susceptible d'entraîner, dans la pratique, un durcissement des contrôles pour les Irlandais et les Irlandais du Nord, contraires à un accord de longue date, le Common Travel Area Agreement.
Les contentieux qui opposent le Royaume-Uni à l'UE après le Brexit s'aggravent. Les négociateurs se retrouveront à nouveau vendredi pour tenter de trouver des solutions au
Bruxelles a proposé à Londres d'alléger les
Une nouvelle phase de négociations débute mardi pour définir la gestion de la
La Grande-Bretagne manque actuellement de chauffeurs de poids-lourds, notamment parce que 20 000 conducteurs d'Europe de l'Est ont dû quitter le pays après le Brexit. Depuis plusieurs semaines, les étals des supermarchés britanniques sont de moins en moins bien garnis. Faut-il y voir un impact négatif du Brexit ? Les éditorialistes sont divisés.
Le
Mercredi, le Parlement européen a définitivement adopté l'
L'Irlande du Nord a été le théâtre de troubles et d'affrontements entre groupes de jeunes pour la quatrième nuit consécutive. Dans l'ouest de Belfast, les émeutiers ont jeté des pierres et des cocktails molotov sur la police, qui a riposté à l'aide de canons à eau. Pour les éditorialistes, ces violences ne sont pas uniquement liées à la recrudescence des tensions politiques entre partis loyalistes et républicains.
Lundi, l'Union européenne a engagé une procédure contre le Royaume-Uni pour violation de l'accord de Brexit. A son origine, le
Un mois à peine après le Brexit,
A l'issue de la période de transition, la Grande-Bretagne a quitté le marché unique européen et l'Union douanière. En signant un accord à midi moins une, Londres et Bruxelles ont échappé de justesse au "no deal". De part et d'autre de la Manche, les médias européens s'interrogent sur les conséquences du Brexit à long terme.
Le Premier ministre britannique, Boris Johnson, et la présidente de la Commission européenne, Ursula von der Leyen, refusent de jeter l'éponge : les négociations portant sur la conclusion d'un accord commercial pour le Brexit vont se prolonger. C'est ce dont sont convenues les deux parties par téléphone. Les chroniqueurs européens se demandent ce que ces nouvelles discussions produiront.
Le Premier ministre britannique, Boris Johnson, s'est rendu mercredi à Bruxelles pour négocier directement avec la présidente de la Commission européenne, Ursula von der Leyen. Leur dîner commun n'a toutefois pas permis de débloquer la situation. Si l'UE et le Royaume-Uni n'ont pas trouvé d'accord d'ici le 31 décembre, on risque de se diriger vers un Brexit 'no deal'. Les médias continuent d’espérer une issue heureuse.
Peu de temps après la démission de Lee Cain, directeur de la communication du Premier ministre britannique, son conseiller en chef,
Le négociateur en chef de l'UE pour le Brexit, Michel Barnier, a indiqué lundi dans un
A l'issue du sommet européen de vendredi, le Premier ministre britannique a réitéré les
L'UE a annoncé l'ouverture d'une procédure d'infraction contre le Royaume-Uni, après l'expiration de l'ultimatum qu'elle lui avait fixé. Londres a en effet décidé de ne pas retirer sa
Les leaders politiques des deux partis au Congrès américain ont appelé le ministre britannique des Affaires étrangères, Dominic Raab, à l'occasion de sa visite à Washington à ne pas violer l'accord de sortie conclu avec l'UE. En soulignant que si une frontière physique était rétablie entre l'Irlande et l'Irlande du Nord, le Congrès américain pourrait rejeter un accord commercial avec le Royaume-Uni. Une position qui ne surprend pas vraiment les éditorialistes.
En dépit des
Londres ayant annoncé un projet de loi qui invaliderait des pans de
Le 24 juillet 2019, Boris Johnson prenait la relève de Theresa May à la tête du gouvernement britannique. Depuis, le nouveau Premier ministre a fait sortir son pays de l'UE et a remporté des élections anticipées. Aujourd'hui, les
Le rapport de la Commission parlementaire du renseignement et de la sécurité sur une éventuelle ingérence russe lors du
La semaine passée, le gouvernement britannique a lancé une campagne pour préparer l'opinion au divorce définitif avec l'UE. Six mois avant la fin de la période de transition, elle vise à informer les entreprises et les particuliers des modalités entraînées par le retrait britannique du marché unique européen. Les commentateurs reprochent à Londres de ne pas savoir où elle va.
Pour donner un nouvel élan aux
Vendredi, le quatrième cycle de négociations sur les futures relations entre la Grande-Bretagne et l'UE s'est terminé sans avancée notable. Tel est le constat partagé par les négociateurs des deux parties, Michel Barnier et David Frost. L'accord devant être ficelé d'ici le 31 octobre, le temps presse. Les éditorialistes se demandent si Londres veut vraiment parvenir à un accord.
La crise du coronavirus bouleverse le calendrier des
Avant même que les
Après la
Depuis le 1er février, le Royaume-Uni n'est officiellement plus membre de l'UE. Le pays n'a donc plus voix au chapitre dans les décisions prises à Bruxelles. Au demeurant, la période de transition qui durera jusqu'à la fin 2020 génère un statu quo en matière de circulation des personnes et des marchandises. Les médias s'interrogent sur la nature du partenariat futur avec le Royaume-Uni et sur les implications du Brexit pour Londres, mais aussi pour le projet européen.
Aux élections législatives britanniques, le Parti conservateur du Premier ministre sortant Boris Johnson a obtenu la majorité absolue. Les Tories ont obtenu 365 des 600 sièges de députés à la Chambre des communes. En Ecosse et en Irlande du Nord, ce sont les partis séparatistes qui ont recueilli le plus grand nombre de voix. Les médias évoquent l'impact de ce scrutin pour le continent européen.
Ce jeudi, le Royaume-Uni élit une nouvelle Chambre des communes. Le Premier ministre, Boris Johnson, avait sollicité en octobre dernier la tenue d'
Dans le processus du Brexit, la Grande-Bretagne s'est ménagée un temps de répit : le pays renouvellera son Parlement en décembre et la date de sortie de l'UE a été repoussée au 31 janvier, avec l'accord de Bruxelles, qui ne perd pas l'espoir d'une sortie encadrée. Les commentateurs évoquent les scénarios possibles pour le lendemain du divorce.
Le Parlement britannique a donné son accord à l'organisation d'élections anticipées,
La Chambre des communes britannique a rejeté le calendrier proposé par le Premier ministre, Boris Johnson. Mardi soir, elle avait accepté sur le principe
Deux semaines avant la date butoir de sortie, l'UE et la Grande-Bretagne se sont mises d'accord sur un nouvel accord de Brexit. Il prévoit notamment que l'
Le Premier ministre britannique, Boris Johnson, rencontre ce jeudi son homologue irlandais, Leo Varadkar, pour sonder une nouvelle fois les possibilités d'un Brexit ordonné. Sachant que Westminster et Johnson rejettent la solution du
Moins de quatre semaines avant la date prévue pour le Brexit, le Premier ministre britannique Boris Johnson a avancé des propositions pour empêcher une sortie sans accord, notamment la suppression du "
Le Parti travailliste britannique n'entend pas soutenir pour le moment un maintien du Royaume-Uni au sein de l'UE et a ainsi choisi de se ranger derrière son président, Jeremy Corbyn. Le Labour ne précisera sa position qu'à l'automne, dans l'hypothèse d'un
En dépit de la rencontre lundi à Luxembourg entre le Premier ministre britannique, Boris Johnson, et le président de la Commission européenne, Jean-Claude Juncker, on n'enregistre toujours aucune avancée dans le dossier du Brexit. Johnson a par ailleurs refusé de participer à une conférence de presse avec le chef du gouvernement du Luxembourg, Xavier Bettel, en raison vraisemblablement de la présence à proximité de manifestants pro-UE.
Avant la pause parlementaire imposée par le Premier ministre britannique, Boris Johnson, la Chambre des communes a une nouvelle fois rejeté sa demande concernant l'organisation d'élections anticipées. Leur tenue avant la fin octobre est donc exclue. Si Johnson entend maintenir la date du 31 octobre pour le Brexit, le Parlement a toutefois adopté une loi empêchant une sortie désordonnée de l'UE. Les chroniqueurs ne posent un regard différent sur l'épreuve de force qui se joue sur la scène politique britannique.
Ce mercredi au Parlement britannique, l'opposition veut adopter une loi qui obligerait le Premier ministre,
Le Premier ministre britannique, Boris Johnson, a décidé de suspendre la Chambre des représentants pour cinq semaines. Cette "prorogation", autrement dit la fermeture du Parlement du 3 septembre au 14 octobre, a été approuvée par la reine. Faute de temps, les députés ne pourront donc pas faire de proposition de loi pour empêcher la perspective d'un
La chancelière allemande, Angela Merkel, et le président français, Emmanuel Macron, espèrent tous deux qu'il sera possible de trouver une solution permettant d'éviter un Brexit sans accord. Macron s'est toutefois montré peu enclin au compromis sur la question du
Le Premier ministre britannique, Boris Johnson, a adressé à l'UE une lettre, dans une nouvelle tentative de convaincre l'UE de rayer de l'accord de sortie le
Pénuries dans les supermarchés, les pharmacies et les stations-service, contrôles douaniers et embouteillages, soulèvements et émeutes : tel est le scénario alarmiste évoqué, en cas de Brexit sans accord, dans un document gouvernemental qui a fuité et qui a été divulgué par le Sunday Times. Les députés britanniques ont appelé à une rentrée parlementaire anticipée. L'inquiétude se ressent aussi dans les commentaires des chroniqueurs européens.
Depuis que Boris Johnson a pris ses fonctions de Premier ministre britannique, son intransigeance sur la question du Brexit suscite une opposition croissante en Ecosse et en
Selon le calendrier arrêté, la sortie du Royaume-Uni de l'UE se fera dans trois mois. Plus le temps passe, moins les observateurs pensent qu'il sera possible d'empêcher un Brexit sans accord le 31 octobre. Le Premier ministre Boris Johnson veut à tout prix retirer le '
Les députés britanniques ont contrarié un projet de
Le candidat le mieux placé en lice pour le poste de
Le ministre des Affaires étrangères Jeremy Hunt fait face à Boris Johnson dans la course à la présidence du parti conservateur et du poste de Premier ministre britannique. Les membres du Parti les départageront lors d'un vote de la base, et le résultat sera connu à la fin du mois de juillet. Dix candidats s'étaient présentés pour succéder à Theresa May. Si le partisan de la ligne dure du Brexit,
La Première ministre britannique, Theresa May, a démissionné de son poste de chef de file du Parti conservateur. Ses jours en tant que chef du gouvernement sont donc vraisemblablement comptés. Une fois de plus, son accord sur le Brexit n'avait pas recueilli de majorité. Aux européennes, les Tories ont obtenu un score médiocre. Quelle est la responsabilité de May dans cet échec ?
Aux élections municipales en Grande-Bretagne, les deux grandes formations Tories et Labour ont essuyé de lourdes pertes. Les Libéraux-démocrates en revanche, qui avaient tenté de faire barrage au
Une participation des électeurs britanniques aux européennes se fait de plus en plus vraisemblable. Car la perspective d'une sortie ordonnée de l'UE reste hypothéquée par l'absence de majorité au Parlement britannique. Les sondages créditent d'un bon score The Brexit Party, le nouveau parti de Nigel Farage - un des plus ardents partisans du Brexit. Quelles chances les anti-Brexit ont-ils de s'imposer ?
Les Etats membres de l'UE ont accordé à la Grande-Bretagne un report de la date du Brexit, jusqu'à fin octobre. Tandis que la majorité était favorable à une extension du délai jusqu'à la fin de l'année, Paris a insisté sur un sursis le plus court possible afin de ne pas entraver indéfiniment le travail de l'Union. Véritable répit ou douloureuse prolongation d'un drame qu'on ne connaît que trop ?
Les chefs d'Etat et de gouvernement consentiront fort probablement à un report du Brexit ce mercredi. Un projet de décision prévoit que la Grande-Bretagne participe aux élections européennes et affiche un comportement 'constructif' et 'responsable' jusqu'à sa sortie définitive. La nouvelle est loin d'être acclamée.
Theresa May a sollicité un report du Brexit jusqu'au 30 juin. Auparavant, le Parlement avait adopté une loi obligeant le gouvernement à ménager un délai supplémentaire. May cherche à présent à élaborer avec Jeremy Corbyn, chef de file du Labour, une variante de Brexit qui prévoit des liens plus étroits avec l'Union européenne que la proposition faite jusqu'ici. Récapitulatif des scénarios encore possibles.
Après le troisième rejet par la Chambre des communes de l'accord sur le Brexit vendredi, la menace d'un Brexit non encadré le 12 avril se concrétise. Les autres options seraient un nouveau report du Brexit, un nouveau référendum ou une adoption inespérée de l'accord de May. Les commentateurs conjecturent sur la suite des évènements.
Jamais deux sans trois ? Vendredi après-midi, la Chambre des communes votera une nouvelle fois sur l'accord de Brexit négocié par May. La déclaration sur les relations futures avec l'UE y ayant été mises entre parenthèses, le speaker de la Chambre a autorisé un
Les médias conservateurs britanniques mènent une campagne contre la Première ministre : 'Ton heure est venue, Theresa', titre The Sun. The Telegraph donne la parole au tenant de la ligne dure du Brexit Boris Johnson, qui taxe May de lâcheté dans la mise en œuvre du Brexit. May pourrait d'ailleurs bientôt être acculée à la démission par son propre cabinet. Si certains jugent la position de May intenable, d'autres redoutent l'alternative potentielle.
L'Europe des 27 a consenti à un report du Brexit, mais de deux semaines seulement et non de trois mois, comme l'avait demandé Theresa May. Le Parlement britannique devra se prononcer
Alors que Theresa May comptait à nouveau soumettre au
La Chambre des communes s'est prononcée contre la tenue d'un second référendum sur le Brexit et pour un report de la date de sortie. Mercredi, cette même chambre avait déjà exclu l'éventualité d'un Brexit sans accord. L'extension du délai doit à présent être validée par les 27 autres Etats membres de l'UE, dans le cadre d'un sommet prévu la semaine prochaine. Consentir à ce sursis serait-il judicieux ?
Toutes les velléités d'amélioration ont été vaines : la Chambre des communes britannique a
Les députés britanniques voteront à nouveau le 12 mars sur l'accord de sortie négocié avec Bruxelles. S'il est une nouvelle fois
Trois députées ont quitté le parti conservateur pour rejoindre le "Groupe indépendant" formé par des députés ex-travaillistes ayant fait sécession au début de la semaine. Elles ont expliqué leur geste par la "gestion désastreuse du Brexit". Les journalistes sont curieux de voir quelle sera l'action du groupe, maintenant composé de onze personnes, au sein de la politique britannique.
La chambre basse britannique doit se prononcer ce jeudi sur le sursis sollicité par la Première ministre Theresa May, qui veut plus de temps pour renégocier l'accord de sortie avec l'UE. Le président du Conseil, Donald Tusk, avait exhorté Londres à faire des propositions concrètes pour que la situation se débloque. Les éditorialistes pensent qu'il est encore possible d'éviter le pire.
Theresa May rencontre à nouveau Jean-Claude Juncker et Donald Tusk ce jeudi pour sonder leur disposition à ménager une marge de manœuvre en vue d'un Brexit ordonné. Au cœur des pourparlers : le 'backstop' - le filet de sécurité prévu dans l'accord de l'UE pour empêcher le retour d'une frontière en Irlande. L'UE avait clairement énoncé qu'il s'agissait d'une clause non-négociable. Les éditorialistes sont nombreux à estimer que la solution ne peut venir de Bruxelles.
Suite au rejet par la chambre basse d'une sortie désordonnée et de la garantie d'une
Après avoir
Suite au
Dès le vote de défiance rejeté, Theresa May a consulté les partis d'opposition pour élaborer un plan B suite au rejet de l'accord sur le Brexit. L'UE a indiqué qu'elle était prête à négocier si Londres renonçait à ses 'lignes rouges', surtout sur le point de la libre circulation des travailleurs. L'UE aurait toutefois tort de se montrer trop conciliante, rappellent les commentateurs.
Les députés de la Chambre des communes se prononceront ce soir sur l'accord sur le Brexit conclu entre l'UE et le gouvernement britannique. Pour tenter de conjurer un très probable rejet du texte, Theresa May brandit les épouvantails d'une suspension du Brexit ou d'une sortie désordonnée sans accord. Les chroniqueurs tentent de décrire le chaos qui règne en Grande-Bretagne.
Le Royaume-Uni doit quitter l'UE le 29 mars 2019. Mais au Parlement britannique, aucune majorité ne se dessine en faveur d'un accord de sortie ou d'un second référendum. Bruxelles comme Londres se préparent donc à l'éventualité d'une sortie sans accord. Les chroniqueurs, qui estiment que les négociations du Brexit ont été une tragédie, n'entrevoient qu'une faible lueur d'espoir.
Chacun de son côté, la Commission européenne et le gouvernement britannique se préparent à l'éventualité d'une sortie de l'Union sans accord. Les projets européens se penchent notamment sur la réglementation du trafic aérien et de la circulation des marchandises et des personnes. Londres, de son côté, mobilise des soldats pour être en mesure de contrôler les entrées et sorties du territoire. Que penser d'un Brexit sans accord ?
Le gouvernement britannique projette une loi sur l'immigration pour la période consécutive au Brexit. Les migrants économiques pourront obtenir des visas pour une durée d'un an, susceptibles de se transformer en visas d'une durée de cinq ans seulement s'ils gagnent plus de 30 000 livres (environ 33 000 euros) par an. Certains y voient une exploitation impudente de la main d'œuvre étrangère, d'autres une mesure justifiée.
Theresa May a remporté le vote de défiance interne, initié par des membres de son propre parti, à 200 voix contre 117. L'avenir de l'
La Première ministre britannique, Theresa May, entend soumettre l'
Le Parlement britannique votera mardi soir sur l'accord sur le Brexit négocié avec l'UE. Selon toute vraisemblance, le texte sera rejeté, d'autant plus que le Parlement avait forcé le gouvernement à divulguer le résultat d'une expertise juridique sur les retombées du Brexit. Theresa May pourrait toutefois jouer la carte d'un report du vote, selon la presse. Les éditorialistes évoquent une situation pleine d'inconnues.
Les chefs d'Etat et de gouvernement de l'UE ont entériné l'accord de retrait négocié avec la Grande-Bretagne. Il doit encore être approuvé par les parlements européen et
Le Premier ministre espagnol Pedro Sánchez avait menacé jusqu'au dernier moment de faire échouer l'accord sur le Brexit, suite à quoi l'UE avait soutenu la demande de Madrid : la question de Gibraltar aura un statut particulier dans les négociations générales futures entre la Grande-Bretagne et l'UE. Toutes les décisions y afférent seront soumises à l'accord préalable de Madrid. Et pourtant, l'enthousiasme n'est pas au rendez-vous dans les médias espagnols.
Si la Première ministre britannique Theresa May a su
Si Theresay May a réussi mercredi à faire valider le projet d'accord sur le Brexit par le cabinet, son approbation par la chambre basse s'annonce très incertaine. Cinq ministres et secrétaires d'Etat ont démissionné jeudi, parmi lesquels le ministre chargé du Brexit, Dominic Raab. Les avocats d'un Brexit dur veulent déposer une motion de défiance contre May. Les journalistes décrivent le dilemme auquel font face le pays et sa dirigeante.
Aux dires du ministre britannique en charge du Brexit, Dominic Raab, un accord de sortie devrait être signé entre l'UE et la Grande-Bretagne d'ici le 21 novembre. Un accord sur lequel le Parlement pourrait se prononcer avant Noël. Pour l'instant toutefois, aucune majorité ne semble se dessiner pour les propositions qui ont été faites. Les éditorialistes se demandent donc si la Grande-Bretagne ne pourrait pas sortir de l'UE sans qu'un accord soit conclu.
Des centaines de milliers de personnes - plus de 600 000 à en croire les organisateurs - ont défilé ce week-end à Londres dans le cadre de la 'People's Vote March', pour revendiquer la tenue d'un second référendum sur le Brexit. La Première ministre Theresa May avait toutefois clairement fait savoir qu'elle y était opposée. Où va la Grande-Bretagne ?
Lors du sommet sur le Brexit, les chefs d'Etat et de gouvernement de l'UE ne sont pas parvenus à un accord avec le Royaume-Uni. Ils ont donc proposé une prolongation de la période de transition consécutive à la sortie du Royaume-Uni en mars 2019. Un certain nombre d'observateurs doutent toutefois de l'utilité de ce sursis.
Lors du
Au congrès annuel des conservateurs britanniques, on s'attend à de vifs échanges entre la Première ministre Theresa May et l'ex-ministre des Affaires étrangères Boris Johnson. Ce dernier a récemment dénigré
Depuis le début du congrès du parti Labour à Liverpool, des manifestants brandissent des drapeaux de l'UE dans l'espoir de faire changer la position du parti pour qu'il plaide la cause d'un nouveau référendum sur le Brexit. Selon les sondages, 86 pour cent des membres du Labour y seraient favorables. Les éditorialistes ne sont pas tendres avec le Brexit et évoquent avec nostalgie la grandeur passée de la Grande-Bretagne.
Les négociations sur le Brexit entre Londres et l'UE patinent. Au sommet de Salzbourg, les chefs d'Etat et de gouvernement ont rejeté la
Dans une
Le gouvernement britannique a commencé à préparer la population et les entreprises nationales à l'éventualité d'un Brexit "dur", sans accord avec l'UE. Il décrit dans 25 documents les répercussions possibles en ce qui concerne notamment l'approvisionnement en produits alimentaires et en médicaments, la sécurité nucléaire et le trafic aérien. Une manœuvre d'intimidation de Londres pour pousser l'UE à faire des concessions ?
Huit mois avant la date fixée pour la sortie de l'UE du Royaume-Uni, on redoute d'en arriver à une rupture brutale sans accord et les conséquences qui en découleraient. Certains commentateurs vitupèrent contre les scénarios catastrophe qui attisent la peur dans l'opinion. D'autres appellent à ne pas sous-estimer le danger d'une telle éventualité, pour le Royaume-Uni mais aussi au-delà.
Le
En désaccord avec la Première ministre Theresa May sur les modalités du Brexit, le ministre des Affaires étrangères Boris Johnson a démissionné, emboîtant le pas au ministre du Brexit David Davis. Défavorables à un Brexit qu'ils jugent
Les membres du gouvernement britannique se sont mis d'accord sur un projet de Brexit. La Première ministre, Theresa May, a réussi à imposer son objectif de zone commerciale avec l'UE. Le ministre en charge du Brexit, David Davis, partisan d'un "Brexit hard", a démissionné après l'annonce de l'accord. Si certains journalistes s'irritent également de la ligne douce adoptée par Londres, d'autres s'attendent à de nouveaux rebondissements.
Alors que les pro-Brexit se faisaient une joie de troquer les passeports européens bordeaux contre des passeports britanniques bleus, coup de théâtre : la fabrication des nouveaux passeports sera confiée à l'entreprise franco-néerlandaise Gemalto basée en France, et non pas à une entreprise autochtone comme jusqu'à présent. Une nouvelle dont la presse fait ses choux gras.
L'UE et le Royaume-Uni se sont mis d'accord sur les conditions qui prévaudront à partir de mars 2019 - date d'entrée en vigueur du
En Grande-Bretagne, de plus en plus de partisans du Brexit se disent favorables à une révision de l'accord de Belfast. De leur point de vue, cet accord empêcherait la mise en œuvre d'un "Brexit hard". Conclu en 1998, l'accord de Belfast ou "accord du Vendredi saint" avait mis fin à des décennies de guerre civile entre catholiques et protestants en Irlande du Nord. Les commentateurs font part de leur indignation.
Le
Avant d'entamer le prochain cycle de négociations sur le Brexit, Theresa May a exclu toute forme d'
Le départ de la Grande-Bretagne de l'UE impactera négativement quasiment tous les secteurs et toutes les régions du Royaume-Uni, en plus d'affaiblir la croissance économique du pays. C'est ce qui ressort d'un document confidentiel du gouvernement britannique, divulgué par le site Buzzfeed. Les journaux européens ne sont pas tendres avec Theresa May et son cabinet.
Donald Tusk, président du Conseil européen, et Jean-Claude Juncker, président de la Commission, ont fait savoir à Londres que la porte de l'UE restait ouverte, ravivant le débat sur la possibilité d'un second référendum. Si les Britanniques changeaient d'avis, nos cœurs resteraient ouverts au Royaume-Uni, a déclaré Donald Tusk devant le Parlement européen à Strasbourg - et Juncker d'abonder dans son sens. Il semblerait toutefois que Theresa May ait rejeté l'option d'un nouveau référendum.
Dans une
A Westminster, les députés de la Chambre basse ont voté le droit de ratifier tout accord final résultant des négociations sur le Brexit. Mercredi, une majorité des députés s'est prononcée en faveur d'une modification en ce sens de la loi sur la sortie de l'UE, contre la volonté du gouvernement. S'agit-il pour la Première ministre Theresa May d'une défaite ou d'un soulagement ?
Après
Après un nouveau cycle de négociations infructueux, le négociateur de l'UE pour le Brexit, Michel Barnier, a fixé au gouvernement britannique un délai de deux semaines pour qu'il présente des compromis. Un remaniement gouvernemental est la seule issue pour May, estiment certains éditorialistes. D'autres jugent que les Tories traversent simplement une phase turbulente, à l'instar d'autres gouvernements en Europe.
Alors que les négociations sur le Brexit n'avancent pas d'un iota, la Première ministre britannique May a informé la Chambre des communes que le gouvernement débloquait 250 millions de livres pour l'éventualité d'une sortie de l'UE sans accord. Les commentateurs tentent d'évaluer le danger que représenterait ce scénario.
Peu avant le sommet européen des 19 et 20 octobre, les négociateurs de la Grande-Bretagne et de l'UE se réunissent pour le cinquième round de négociations sur le Brexit. Certains commentateurs appellent Bruxelles à cesser de bloquer l'avancée des discussions par son intransigeance. D'autres commentent les appels à organiser un nouveau référendum.
Dans un discours prononcé à Florence, la Première ministre britannique Theresa May a proposé l'instauration d'une période de transition de deux ans à l’issue du Brexit. Pendant cette période, le Royaume-Uni pourrait continuer à honorer ses engagements financiers envers l’UE. May s'ouvre enfin au compromis, saluent certains commentateurs, tandis que d’autres regrettent son silence sur des questions cruciales.
Une loi censée encadrer l'immigration au lendemain du Brexit fait couler beaucoup d'encre. Selon une ébauche du document, envoyé au Guardian, les permis de séjour délivrés aux personnes peu qualifiées seront limités à deux ans et les entreprises britanniques devront donner la priorité aux candidats autochtones. Ce projet de durcissement ne fait pas l'unanimité, pas plus dans la presse que dans les rangs du gouvernement.
Le troisième cycle des négociations sur le Brexit s'est également achevé sans produire de réelles avancées. Des questions centrales comme les droits des citoyens de l'UE et le
Alors que Londres et l'UE s'apprêtent à entamer un nouveau cycle de négociations, le Parti travailliste britannique prend position sur le Brexit : il plaide pour que le Royaume-Uni, après son départ, reste membre du marché unique et de l'Union douanière pendant une
La Première ministre Theresa May avait promis aux partisans d'un Brexit dur que Londres retrouverait sa souveraineté juridique après son départ de l'UE. Un document publié par son gouvernement indique cependant que seule la "compétence directe de la CJUE" prendrait fin, mais que ses décisions continueraient de servir de fil directeur. S'agit-il d'un changement de position éclairé ? Les journalistes en débattent.
Le Brexit pourrait entraîner le rétablissement de la frontière entre la République d'Irlande, membre de l'UE, et l'Irlande du Nord, province britannique. Londres entend ajouter cette question aux négociations sur une
La Grande-Bretagne a proposé de mettre en place une union douanière temporaire après le Brexit. Au cours de cette phase de transition de trois ans maximum, les échanges avec les voisins européens resteraient inchangés. Londres reprend enfin ses esprits, se réjouissent certains journalistes. D'autres déconseillent au contraire de se montrer trop conciliant envers les Britanniques.
Dans les
Le Brexit est-il vraiment irréversible ? La déconvenue de Theresa May aux législatives et les difficultés rencontrées dans les négociations avec l'UE n'appellent-elles pas au contraire l'organisation d'un nouveau référendum sur la question ? Des questions abondamment débattues en Grande-Bretagne aujourd'hui.
Le gouvernement britannique a présenté lundi sa feuille de route pour régler le statut des 3,2 millions de ressortissants européens établis en Grande-Bretagne au lendemain du Brexit. Ceux qui vivent en Grande-Bretagne depuis plus de cinq ans peuvent faire une demande de permis de séjour illimité leur garantissant l'accès à l'éducation ainsi qu'aux systèmes de retraite et de santé. Tous les autres obtiendront dans un premier temps un titre de séjour limité. La presse se salue pas unanimement la proposition.
La Grande-Bretagne et l'UE amorcent ce lundi le deuxième cycle des
Dans son "discours du trône", la reine Elizabeth II a présenté le programme du gouvernement conservateur de la Première ministre Theresa May. Près d'un tiers des 27 projets de loi portent sur la sortie de l'UE de la Grande-Bretagne. Les commentateurs interprètent le discours à travers le prisme des
Près d'un an après le
A la surprise générale, la cheffe du gouvernement britannique Theresa May a annoncé la tenue d'élections anticipées le 8 juin. Elle affirme vouloir se doter d'une majorité solide pour mener à bien les négociations sur le Brexit. Les sondages donnent à son Parti conservateur une large avance sur les autres partis. La stratégie de May sera-t-elle payante ?
La mise en œuvre du Brexit pose la question du budget futur de l’Union européenne. Plusieurs pays, parmi lesquels l’Autriche et les Etats du groupe de Visegrád, jugent notamment qu’il appartient aux "Etats contributeurs nets" de combler le vide créé dans le budget par la fin de la contribution britannique. De l’avis des éditorialistes, cette querelle budgétaire sera le prochain défi à relever pour l’Union.
Le Parlement écossais a assuré de son soutien le
Après le lancement officiel du processus de Brexit, l'UE et la Grande-Bretagne se positionnent dans les négociations qui les attendent. Récemment, Londres s'est montrée un peu plus conciliante. Son ministre des Finances Philip Hammond s'est déclaré ouvert à parler des obligations de paiement futures et d'un accord de libre-échange. Combien de plumes les deux camps laisseront-ils dans ces négociations ?
Après l'approbation par le Parlement britannique de la loi sur le
Face à la perspective d'un
La chambre basse britannique a approuvé mercredi en dernière lecture le projet de loi sur le Brexit, sans y apporter de modification. Bien que la plupart des députés soient
Le chef de file du Labour Jeremy Corbyn a appelé son groupe
La Cour suprême britannique a estimé que le gouvernement ne pouvait engager la procédure de Brexit sans consulter le Parlement au préalable. Elle confirme ainsi le
La Grande-Bretagne ne fera plus partie du marché commun européen après le Brexit, selon Theresa May. Dans
Le représentant de la Grande Bretagne auprès de l'UE, Sir Ivan Rogers, a présenté sa démission et vertement critiqué son gouvernement. Dans un
Le négociateur de l'UE pour la sortie du Royaume-Uni de l'Union, Michel Barnier, a indiqué que le
En Grande Bretagne, la Cour suprême délibère depuis lundi sur le droit du Parlement à
Dans son premier budget prévisionnel, le ministre britannique des Finances Philip Hammond a annoncé des allègements fiscaux et davantage d'investissements publics. Selon ses déclarations, il faut s'attendre à un ralentissement de la croissance et une hausse de l'inflation dus au
La Première ministre Theresa May a mis en garde le Parlement, l'appelant à respecter le choix fait par les Britanniques lors du vote sur le
Dans un document qui a filtré, le ministère britannique des Finances met en garde contre les risques de dommage économique à hauteur de plusieurs milliards qu'entraînerait un Brexit dur. Pourtant, la semaine dernière, la Première ministre Theresa May s'était montrée favorable à une
Au congrès des Tories à Birmingham, Theresa May a promis davantage de justice sociale. La ministre de l'Intérieur Amber Rudd a renchéri en exprimant sa volonté de limiter le nombre de travailleurs immigrés. Les observateurs craignent qu'un 'Brexit dur' ait de vastes répercussions sur l'ensemble de l'Europe.
La Première ministre britannique Theresa May a présenté dimanche une feuille de route générale pour les négociations de sortie de la Grande-Bretagne de l'UE. Elle a évoqué un
A l'issue de
Afin de lutter contre la récession suite au
Boris Johnson a effectué son premier déplacement à Bruxelles en tant que ministre des Affaires étrangères britannique. La figure de proue éminemment polémique de la campagne
Dans son discours d'investiture,
La ministre de l'Intérieur Theresa May et la secrétaire d'Etat à l'Energie Andrea Leadsom sont en lice pour prendre le relais du Premier ministre démissionnaire David Cameron. Dans un vote qui se tiendra le 9 septembre, les membres du parti conservateur trancheront. Qui sont ces deux femmes qui veulent prendre les rênes de la Grande Bretagne
Deux semaines après le
Afin d'inciter les entreprises à maintenir leur siège en Grande-Bretagne suite au
Nigel Farage, leader du parti indépendantiste UKIP, a annoncé lundi sa démission de la tête du parti. Après
Les migrants intracommunautaires vont-ils devoir quitter le Royaume-Uni ? Le pays est-il voué à l'effondrement économique ? Quelles répercussions le Brexit aura-t-il sur les relations transatlantiques ? Les commentateurs se penchent sur les interrogations qui fusent tous azimuts à l'issue du référendum britannique.
De nombreux Britanniques contestent le résultat du
Après le
Pour la première fois, un pays s'est déclaré favorable à une sortie de l'UE. Dans le cadre du
46,5 millions de votants doivent
Barack Obama a appelé les Britanniques à ne pas choisir le
Deux mois avant le référendum, l'OCDE emboîte le pas à
La Grande-Bretagne et tous les autres Etats membres de l'UE auront le droit de refuser les aides sociales aux ressortissants communautaires pendant les quatre premières années de leur séjour. Le gouvernement britannique s'est montré satisfait de cette proposition du président du Conseil européen, Donald Tusk, et des autres concessions qu'il lui a faites. Mais cela suffira-t-il à déjouer un Brexit ?